Attention au crédit consommation

    Pour un certain nombre d’entre nous, joindre les deux bouts à la fin du mois peut s’avérer difficile. Pour contrer cette situation, des alternatives sont proposées par les banques et la plus prisée des Français est le crédit à la consommation. 

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    Les imprévus, les achats essentiels ou encore les extras … et tant d’autres dépenses

    Dépenser, acheter, consommer sont des actions nécessaires pour tout individu : elles relèvent du besoin ou bien de l’envie. Mais pour un certain d’entre nous, la note de l’intégralité de ces dépenses peut être bien plus élevée que ce qui avait été prévu ou anticipé

    Pour cause, des imprévus urgents, des accidents, des extras ou encore l’accumulation de dettes ou factures impayées. Aujourd’hui, en France, les crédits à la consommation sont très prisés par deux tiers des particuliers (66 %) pour financer ces cinq types de dépenses en particulier.

    Cependant, bien que ce moyen de financement soit prisé, il n’est pas inintéressant de souligner que de nombreux frais et des contraintes y sont associés. 

    Une alternative de financement pas toujours aussi vertueuse 

    Comme noté précédemment, le crédit à la consommation est un moyen de financement encore et toujours privilégié par les Français. Cependant, il est intéressant de souligner que même si le crédit à la consommation est une alternative jugée meilleure que le découvert bancaire, il n’est pourtant pas sans risque

    Et pour cause, deux contraintes majeures sont à noter concernant le crédit à la consommation : le coût et la durée.

    1. Le coût est calculé à partir du taux annuel effectif global (TAEG). Ce dernier prend en compte l’ensemble des frais liés au crédit, soit les frais de dossier, d’assurance, ou encore ceux fiscaux. Et il varie en fonction du montant, de la nature et de la durée du prêt.
    1. La durée moyenne de tout crédit à la consommation est de 47 mois, soit près de 4 ans. S’engager sur une telle période n’est valable que pour certains types d’achat, mais pas tous, d’où l’intérêt de repenser à une alternative de financement. 

    L’acompte sur salaire : la solution aux imprévus financiers quotidiens

    Comme nous le révèle une étude publiée par Cofidis en 2016, près de la moitié des Français a “dû faire face à un coup dur au cours de l’année”. Par ailleurs, le montant moyen de cet imprévu s’élève à près de 2000 euros par an (1926 euros), et 67 % de ces imprévus ont un coût inférieur à 1000 euros

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    Même si ces montants sont élevés, ils ne devraient pas contraindre les ménages à puiser dans leur épargne, ni même contracter un crédit à la consommation ou encore, demander à leurs proches. L’acompte sur salaire est la solution qui garantit de faire face aux imprévus de façon plus responsable et moins coûteuse, puisque c’est :

    1. Paie sur-demande : la demande se fait auprès de l’employeur et ne peut être refusée. Le principe est de percevoir le montant demandé instantanément.
    1. Aucun frais : une demande d’acompte ne génère aucun frais, ni intérêt supplémentaire.
    1. Stabilité financière : l’employeur se porte garant du confort financier de l’employé. 

    La crise actuelle refait surgir des souhaits de nombreux salariés français comme d’être davantage protégés, considérés et de mettre en place des solutions sociales, responsables et surtout durables

    Si le crédit à la consommation paraît être un bon moyen de financement, il est surtout intéressant pour d’importantes dépenses. Pour les dépenses moindres et peu, voire pas anticipées, choisir une méthode plus abordable, plus flexible et moins contraignante semble être la meilleure option, d’où le choix de l’acompte sur salaire.